Ces Glanes troisièmes rappellent la stature du Professeur qui marqua,  par son esprit et son savoir, des générations d’universitaires tunisiens. Mais elles révèlent surtout une face moins connue de cet homme épris de culture : ses articles très divers disent tous l’attachement qu’il voue à l’amitié et à la convivialité. Il nous parle affectueusement de Jendouba, son pays natal,  de la Tunisie et de ses figures intellectuelles : Ibn Abou dhief, Messaadi,  Mnaouar Smadeh, Abdelmagid Sehli et Ahmed Abdessalem. Pour ceux qui n’ont connu en lui que le Grand Maître, le ton simple de ses Glanes sera particulièrement émouvant