Enfances Tunisiennes, Textes inédits recueillis par Sophie Bessis et Leïla Sebbar, Editions elyzad, Tunis 2011, 240 Pages. ISBN : 978- 9973-58-032-0

Dans ce recueil de textes, l'enfance apparaît comme le foyer de toutes les passions où nichent le baiser maternel, les gestes tendres et les promesses d'un destin radieux
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Houcine EL Oued, Saadatouhou Asseyd al Wazir( Son Excellence Monsieur le Ministre), Sud Editions, « Ouyoun al moassara », 2011, 265 pages, prix : 13 D.T, ISBN : 978-9938-01-049-7.

Ce roman, au titre très politique, a hiberné longtemps dans les tiroirs de son auteur sous l’ancien régime. Il paraît à l’heure même où la Révolution gronde. Quelle belle revanche du romancier sur l’Histoire !
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Emna Belhaj Yahia, Jeux de rubans, Elyzad, Tunis, 2012, pages 212, prix: 15 DT, ISBN978-9973-58-041-2
Jeux de rubans, le nouveau roman d’Emna Belhaj Yahia, sorti au dernier trimestre de l’année 2011, est un livre d’une grande tendresse, ce qui est un tour de force pour un livre qui traite de relations familiales tendues, encore plus à vif après le surgissement dans la vie de Frida, femme tunisienne moderne libre et épanouie, d’une belle-fille portant le hijab, le voile islamique.
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Kamal Ben Hameda, La Compagnie des Tripolitaines, roman, Elyzad, Tunis, 2011, 109 pages, prix : 11.900DT (14.90E), ISBN : 9789973580344.
Ce n’est, à vrai dire, pas tout à fait un roman. Traitant de la destinée quasi collective d’une foule de femmes, Kamal Ben Hameda a choisi de ne pas camper ses personnages dans les péripéties d’une intrigue romanesque. Mais c’est un beau récit dans lequel l’enfant Hadachino raconte le quotidien des Tripolitaines, à travers l’expérience de sa propre mère et des femmes du quartier dans les années soixante.
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Sélim Lafif : Miel et Fiel, Editions arabesques, Tunis 2011, 134 pages. ISBN : 978 9938 801 50 7
Après un bref récit Rendez-vous, publié à Paris en 2005, l’auteur réitère son expérience romanesque avec un autre récit, aussi bref que le premier. Là, S. Lafif invente un univers parfaitement conforme à l’attente d’un public mordu par le traditionnel roman-photo, un genre certes révolu, mais qui semble mobiliser, comme en témoigne le récit de M Lafif, un public qui aime l’émotion lyrique et les épanchements du moi, comme savent l’entretenir les feuilletons télévisés mexicains ou turcs.
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